Le Vieux Sindarin est la langue qui c'est développée parmi les Teleri resté au Beleriand avant l'invention des Sarati par Rúmil.
Histoire[]
Après le départ des Falmari pour Aman, les Eglath et les Falathrim restent au Beleriand. Le telerin commun va évoluer jusqu'à la forme formalisée du Sindarin après l'invention des Sarati et le développement de l'écriture. Pour cette période intermédiaire on parle du vieux sindarin.
Pour exemple d'évolution on peut citer les voyelles finales longues qui sont abrégées -â devient -a ou -ó ; -ê devient -í et -ô > -ú. Les t, p, k primiotifs deviennent th, ph, kh après une autre consonne, spangâ ("barbe") donne sthanka par exemple.[1][2]
Anciennes versions du légendaire[]
Tolkien ne mentionne pas le vieux sindarin dans ces textes. dans les Étymologies il parle et décrit le vieux noldorin parlé par les Gnomes à Kôr dérivant de l'eldarin.[2][3] Quand il fait évoluer les langues et donne le quenya comme langue commune des Vanyar et des Noldor, le noldorin devient le sindarin. Il conserve la quasi intégralité des règles décrites dans les Étymologies pour le sindarin. Dans les textes plus récent on trouve des formes sindarine précédé d'une "*" signifiant que la forme du mot n'est pas attestée et précède la formalisation de l'écrit. Dans l'esprit de Tolkien il existe une forme archaïque du sindarin à qui il n'a jamais donné de nom. Vieux sindarin est un nom non-canonique qui est adopté par les linguistes spécialiste des langues de Tolkien.[1]

Le Lhammas

Lammasethen
Schéma interactif[]
Affiliation[]
Notes & Références[]
- ↑ 1,0 et 1,1 The War of the Jewels, Part IV : "Quendi and Eldar"
- ↑ 2,0 et 2,1 La Route perdue, Partie II : "Étymologies"
- ↑ La Route perdue, Partie II : "V - Le Lhammas"