Le niphredil est une plante à fleurs née de la magie dans les Temps Anciens de la Terre du Milieu.
Description[]
La niphredil est une plante à fleurs de couleur blanche qui semblent scintiller comme les étoiles dans le ciel de la nuit. Elle a poussé en premier au moment de la naissance de Lúthien à Doriath.[1] Elle a également été trouvée parmi les arbres dorés de la Lothlórien, dont les plus épais sont sur Cerin Amroth, où certaines variétés vert pâle peuvent être vues.[2] C'est comme "un parent délicat d'un perce-neige."[3]
Les fleurs blanches de la niphredil, brûlées, servent à apaiser la colère et tempérer la nervosité. Ses tiges verdâtres, écrasées et réduites en une pâte fine, servent à arrêter l'écoulement du sang. Ces plantes ont poussé sur toute la Terre du Milieu jusque dans ses endroits les plus inhospitaliers.
Étymologie[]
Le mot niphredil est sindarin, signifiant "petite pâleur", composé de niphred = "pâleur" + la terminaison -il.[4]
Affiliations[]
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| Aeglos • Alfirin • Arbres Blancs • Arbres du Valinor • Athelas • Azuradan • Carandôl • Celeborn • Élagaran • Elanor • Galathilion • Grand Arbre du Lindon • Herbe à pipe • Hithlas • Lairelossë • Lait-bleu • Laurelin • Laurinquë • Lissuin • Lothrond • Mallorn • Mallos • Mellyrn • Naugrimbas • Nimloth • Niphredil • Oiolairë • Olvar • Orchamarth • Pain de terre • Remmenthonde • Seregon • Telperion |
Références[]
- ↑ J.R.R. Tolkien, Christopher Tolkien, Le Silmarillion, "Quenta Silmarillion : Des Sindar"
- ↑ J.R.R. Tolkien, Le Seigneur des Anneaux, Vol. 1 : La Communauté de l'Anneau, "Lothlórien"
- ↑ J.R.R. Tolkien, Humphrey Carpenter, Christopher Tolkien, Les Lettres de J.R.R. Tolkien, Lettre 312 (datée du 16 novembre 1969)
- ↑ J.R.R. Tolkien, "Mots, phrases et passages en plusieurs langues dans Le Seigneur des Anneaux", dans Parma Eldalamberon XVII (édité par Christopher Gilson), p. 55