Alqualondë, aussi connue sous le nom de Havre des Cygnes, est la cité, fondée en 1162 A.A. dans la région d'Eldamar en Aman, où vivent les Elfes Teleri.
Géographie[]
Alqualondë est bâtie sur le rivage septentrional de la baie d'Eldamar, entre le col de Calacirya à l'ouest et la côte d'Araman au nord. Ses palais et ses manoirs, ainsi que son principal monument, la Tour d'Olwë, sont décorés de perles pêchées dans la Grande Mer. L'entrée de son port est une arche naturelle de roche, et ses plages sont parsemées de pierres précieuses offertes par les Elfes Noldor.[1]
Histoire[]
Alqualondë fut construite en 1162 A.A., lors du déplacement des Elfes Teleri depuis l'île de Tol Eressëa vers le continent d'Aman. La cité demeura longtemps l'un des lieux les plus paisibles et les plus tranquilles, un synonyme de félicité, toujours vivante avec les chants des Teleri. Ce paradis subit un rude coup lors de la mort des Deux Arbres de Valinor par Morgoth puis du Massacre Fratricide par les Noldor.[2]
Étymologie[]
Alqualondë en quenya, de alqua = "cygne" + londë = "port, havre".[3] Dans Le Livre des Contes Perdus, Première Partie, le nom du refuge a la forme Alqualuntë.[4]
Affiliations[]
Références[]
- ↑ J.R.R. Tolkien, Christopher Tolkien, Le Silmarillion, "Quenta Silmarillion: D'Eldamar et des Princes d'Eldalië"
- ↑ J.R.R. Tolkien, Christopher Tolkien, Le Silmarillion, "Quenta Silmarillion : Du voyage d'Eärendil et de la Guerre de la Colère"
- ↑ J.R.R. Tolkien, Christopher Tolkien, Le Silmarillion, "Appendice : Ḗléments en nom de Quenya et Sindarin", entrées alqua, londë
- ↑ J.R.R. Tolkien, Christopher Tolkien, Le Livre des Contes Perdus, Première Partie, Appendice : Noms dans les contes perdus - Partie I, entrée alqualuntë